Jean-Frédéric Poisson : « Il y a aujourd’hui, dans l’arsenal médical, tous les moyens de ne pas souffrir. Les douleurs dites « réfractaires » sont devenues infiniment rares. Et l’on sait maintenant développer l’accompagnement dont les patients en fin de vie ont besoin pour que leurs souffrances morales soient allégées. Plutôt que de prétendre « maîtriser sa mort », il est préférable d’accompagner les patients pour qu’ils vivent pleinement leur fin de vie. Par ailleurs, je persiste à ne pas pouvoir considérer comme un progrès de faire entrer le droit de tuer dans le Code pénal français. Quelle qu’en soit la raison… »
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