Retrouvez ci-dessous le discours de notre délégué des Côtes d’Armor, Philippe Lecat, à la manifestation contre la dictature sanitaire de Saint-Brieuc.


Bonjour à tous.

Je suis délégué de VIA | la voie du peuple pour le département et je vous remercie d’être venus nombreux.

Je souhaite vous faire un panorama rapide ce que révèle la gestion de cette crise, la mettre en perspective avec les mesures prises dans d’autres domaines et tenter de voir où tout cela nous emmène.

La plus emblématique des mesures est le port du masque, jadis interdit de vente sous peine de sanctions pour les pharmaciens qui passeraient outre, aujourd’hui obligatoire même en plein vent au bord de la mer, ou ici-même sous peine de sanctions de de dispersion de notre rassemblement.

On peut citer également le confinement dont la seule justification est d’éviter la saturation des urgences alors qu’on a poursuivi la suppression de lits dans les hôpitaux et empêché l’usage des traitements précoces pourtant utilisés avec succès dans de nombreux autres pays et chez nous par nombre de médecins qui défendent la liberté de prescrire.

Les effets positifs de cette politique ne sont nullement prouvés au plan sanitaire : la Suède qui n’a pas confiné ne fait pas pire que nous. Par contre ses effets délétères sur l’état de notre pays et de nos compatriotes, lui, est éclatant.

L’économie tourne au ralenti avec des secteurs sinistrés, la dette explose.

Le confinement et le port du masque pour les enfants font des dégâts psychologiques énormes, entrainant des suicides à des âges où la vie devrait vous sourire.

Avec la mise sous cloche de l’enseignement, c’est le niveau d’éducation de la génération montante qui est en cause.

Avec les restrictions des sorties, ce sont des libertés fondamentales qui sont attaquées, liberté d’aller et venir, liberté d’entreprendre, liberté de culte, droit à la vie privée avec le passeport vaccinal, l’application StopCovid et le QR code pour aller au restaurant.

Avec papy et mamie à la cuisine pour manger la bûche, ce sont la convivialité et la famille qui sont attaquées.

Que dire du traitement indigne des anciens dans les EHPAds, privés des contacts avec leurs proches et poussés vers la mort avec le Rivotril ?

La cerise sur le gâteau, c’est le conditionnement qui pousse en masse nos concitoyens vers des vaccins dont ni l’efficacité pour endiguer l’épidémie, ni l’innocuité ne sont à ce jour démontrées, et ce pour le plus grand profit des labos et de leurs dirigeants.

Enfin la France a donné à l’Union Européenne une compétence en matière de santé, non prévue dans les traités, permettant à cette dernière de montrer son incompétence dans ce domaine.

Tout ceci est à mettre en parallèle avec le travail législatif et réglementaire qui se développe par ailleurs.

  • la liberté d’opinion est violée par des lois répressives. La vie privée est violée avec le fichage des opinions politiques. La liberté d’éduquer est attaquée par les mesures dites contre le séparatisme.
  • des ballons d’essais sont lancés pour promouvoir pour 2022 le vote par correspondance, jadis supprimé car propice à la fraude.
  • la famille est également attaquée avec l’effacement du père dans la loi de bioéthique en préparation.
  • l’eugénisme se met en place à travers cette même loi de bioéthique
  • l’euthanasie est débattue au parlement.
  • l’écologie punitive s’attaque à des secteurs phares de l’économie et renforce notre dépendance face à la Chine.
  • l’héritage culturel et historique de la France est attaqué avec la repentance systématique, le multiculturalisme envahissant et la cancel culture. L’horrible attentat d’hier montre où cela nous mène.

Tout se passe comme si on voulait réduire nos concitoyens à des fonctions biologiques et à un rôle de producteur et consommateur, trié avant la naissance, jetable quand il est usé, et effacer la France, son identité et sa souveraineté.

Qui gagne à ce jeu ? les dirigeants des biotechnologies et du big data. Qui perd ? nous, le peuple français. Nous devons faire entendre sa voix.

Mais terminons sur une note optimiste. Dans les circonstances graves qui nous réunissent je vois une occasion de coopérer sur un thème d’action qui est une préoccupation commune des quatre partis politiques représentés ici. Puisse-cela préfigurer une coopération en vue d’un programme commun de la Droite qui seul nous permettra de relever notre pays après 2022.

Philippe Lecat, délégué Côtes d’Armor
Samedi 24 avril à Saint-Brieuc