Que ce gouvernement s’attaque d’abord aux raisons qui font que les élèves ont un indice de position sociale faible (conditions matérielles, capital culturel, niveau d’étude des parents…), avant d’imposer aux derniers bastions d’excellence des quotas injustifiés. En fin de compte, ce ciblage en règle des établissements privés sous contrat masque l’échec de la politique sociale du gouvernement et l’effondrement de l’école de la République qui en découle.
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