Quelle source d’énergie la France doit-elle privilégier en priorité pour retrouver sa souveraineté énergétique ?

À cette question, une grande majorité des personnes interrogées a estimé que notre pays devait en premier investir dans le nucléaire (85%). Les 15% restants se partagent entre l’énergie hydraulique (5%), le bois (5%) et l’énergie éolienne (5%).

Sur le sujet du nucléaire, Jean-Frédéric Poisson a écrit une tribune le 1er septembre 2022 dans laquelle il fustigeait l’inconséquence d’Emmanuel Macron qui a négligé le nucléaire pendant tout son premier quinquennat et nous demande aujourd’hui de payer le prix de ses erreurs :

Aujourd’hui, plus de la moitié du parc nucléaire français est désormais à l’arrêt. Conséquences de quoi, des mesures mortifiantes sont annoncées pour tous les Français afin d’économiser l’énergie et payer « le prix de la liberté ». C’est avec leur argent et en modifiant leurs habitudes qu’ils satisferont les délires bellicistes de notre président contre la Russie avec qui nous entretenions pourtant, avant la guerre, de fortes relations de dépendance énergétique.

Lien vers la tribune ici…

Sur le sujet des éoliennes, Jean-Frédéric Poisson a pris position en juin dernier pour dénoncer le bilan catastrophique de ces monstres d’acier :

Au-delà de son manque d’efficacité à cause des caprices de la météo, il faut pourtant revenir sur les particularités de l’éolien qui est loin de constituer une énergie « propre » contrairement au nucléaire. En effet, ces monstres de carbone et d’acier présentent un bilan écologique catastrophique. Leur socle est constitué d’une ossature de 50 tonnes de ferraille et entre 1000 et 1500 tonnes de béton particulièrement polluant. Les nacelles d’éoliennes terrestres ou offshores nécessitent des terres rares importées de l’étranger pour fonctionner, terres dont le bilan est également particulièrement polluant pour le biotope d’où il est extrait. On mesure ainsi l’hypocrisie des promoteurs éoliens qui vantent la propreté de leur instrument sur le territoire où il est implanté, mais omettent l’extrême pollution dont leur construction est la source en amont et leurs conséquences sur les populations.

Lien vers la tribune ici…