La député LREM Fiona Lazaar, de la 5ème circonscription du Val d’ Oise, signe avec des élus d’une nébuleuse « Association des élus de France » une tribune « Le printemps n’est plus républicain et l’hiver arrive… » publiée sur le site de La Croix ici.
Cette tribune ressasse toujours les mêmes anathèmes, caricatures, insultes envers des opposants politiques et par conséquent envers les millions de français qui les soutiennent censés œuvrer à « la banalisation du mal ».
Pas de débat de fond mais des mots pour disqualifier et pointer l’ennemi à abattre :
« débat nauséeux » « xénophobe » « rabougrie » « suprématiste » « fachosphère » « calomnie » « venin du soupçon » « régime de terreur d’une minorité, dénuée de sentiments » « racisme » « rejet de l’autre » « homophobie » « antisémitisme » « haine de l’autre » « stigmatisation » « des ruines, des larmes et de la peur »
Œuvrer ainsi à la violence verbale, c’est aussi justifier, encourager toutes les violences physiques comme le font déjà les milices d’extrême gauche avec la complaisance du gouvernement.
Alors qu’une campagne électorale devrait être le lieu du débat et de la confrontation des idées, des différentes visions pour la France, quelques élus s’érigent en « défenseur du bien » pour ainsi éviter le débat et suivre la voie annoncée par, le pas encore candidat, M. Macron(1).
La condamnation d’Eric Zemmour pour incitation à la haine raciale serait l’argument massue pour le clouer au pilori. Pourquoi a-t-il été condamné ? Pour avoir dit « la plupart des délinquants sont Noirs et Arabes » cette opinion ne peut être affirmée, ni infirmée de manière factuelle puisque les statistiques ethniques sont interdites en France. Il a donc été condamné pour avoir peut-être dit une vérité. Dire que la grande majorité des violences intra familiales sont dues aux hommes ce serait une incitation à la haine envers les hommes ?
Sur le fond, ces élus défendent une histoire universaliste de la République, donc une République « une et indivisible » ou tous les citoyens ont des règles, des valeurs, des principes communs et ou les particularismes corporatifs, législatifs, religieux, régionaux ou encore linguistiques sont condamnés. C’est cette République qui a décidé le 1er avril 1803 que les prénoms devaient être choisis uniquement dans divers calendriers ou parmi les personnages de l’Histoire antique. La République française est assimilationniste dès son origine.
C’est justement ce qu’Eric Zemmour veut rétablir : l’assimilation afin de retrouver l’unité et la paix de notre pays.
Il fait le constat d’une France fracturée à cause d’une immigration massive et incontrôlée générant sur notre sol des quartiers ou une autre culture s’installe bien loin de nos traditions et de nos valeurs de liberté, d’égalité et de fraternité ; une France vivant dans l’insécurité, l’insécurité physique, économique, énergétique et culturelle ; une France vivant dans la perte de souveraineté industrielle, dans l’abandon de la ruralité ; une France avec une école en déclin et attaquée dans ses fondements historiques.
C’est ce constat qui le pousse à vouloir prendre des mesures radicales d’urgence pour le pays afin de donner aux Françaises et aux Français l’espoir d’une France paisible et prospère.
Le débat démocratique devrait se situer au niveau du constat et des mesures pas sur des anathèmes et des insultes, le destin de la France est en jeu !
Franck Debeaud
Délégué départemental du Val d’Oise
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